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L’industrie du spatial fait face à de nouveaux défis concurrentiels et technologiques que le " bon du 1er coup " peut aider à relever.
De nouveaux acteurs viennent bousculer nos pratiques tant en termes d’architecture que dans la façon de produire. Face à cette concurrence, il nous faut être de plus en plus compétitif et sur des cycles de plus en plus courts.
À cet enjeu de compétitivité s'ajoute le défi technologique : l’usine 4.0 vient bousculer les outils et les moyens de production ; transparence, flexibilité, maitrise et compétitivité constituent le socle de ce que doit devenir l’usine du futur.
Dans ce contexte, le « bon du 1er coup » prend encore plus de sens et devient cette colonne vertébrale qui va assurer les résultats dans cette démarche de recherche de performance.
C'est une opinion largement partagée : le « bon du 1er coup » est bénéfique pour tout le monde car il permet d’éviter l’échec, optimise le travail et valorise sa matière.
Mais comment cette démarche prend-elle sa place dans un contexte où les moyens de productions et l’industrialisation évoluent rapidement ? Est-elle compatible des méthodes émergentes qui préconisent des cycles plus courts avec re-conception possible intégré à la méthode elle-même ?
D’autant que cette démarche n’est pas simple à mettre en œuvre. Elle demande dans un premier temps beaucoup de mobilisation. Elle nécessite ensuite de l'accompagnement et de la communication pour passer à l'application sur le terrain, surtout qu’il est question de savoir se remettre en cause.
Alors comment prévenir les erreurs et s'assurer qu’aucune ne survienne ensuite ? Comment roder l’industrialisation et les opérations là où les référentiels ne cessent de changer ? Comment intégrer l’humain au cœur des processus dès les phases amonts et lui donner les moyens pour que le « bon du 1er coup » soit pour lui un levier de performance et non une contrainte ?
Cette journée « bon du 1er coup et les facteurs humains » organisée par les COMET AIT et OPS du CNES permettra d’essayer d’y répondre en échangeant sur :
- la frontière entre un levier de performance et une contrainte,
- comment faire que le « bon du 1er coup » devienne la colonne vertébrale de l’industrialisation,
- comment répondre aux effets cognitifs de l’enjeu, du stress, de la fatigue, …, pour favoriser le « bon du 1er coup »,
- comment créer l’environnement (ergonomie, formation, …) favorisant le «bon du 1er coup »
- les sensibilisations en Facteur Humain nécessaires au changement de culture